Une nouvelle fois, par cette belle journée de fin d'hiver, nous nous dirigeons  vers Marseille, mais pas pour aller dans les Calanques ni dans le Garlaban. Objectif : le Mont Carpiagne (618 m, il va falloir monter!)

 

Sortis de l'autoroute à la Valentine,nous quittons assez rapidement la triste vallée de l'Huveaune pour rejoindre le quartier plus pittoresque de la Barasse et nous nous garons devant les anciens fours à chaux

Après quelques centaines de mètres au milieu des villas et des cabanons, nous attaquons la montée vers la Croix de Saint Marcel. Le sentier est bien tracé, il fait de larges lacets et nous sommes rapidement au sommet. La vue lointaine est belle, mais il faut bien reconnaître qu'à nos pieds, ... bof. Nous entamons alors une traversée sinueuse et accidentée pour atteindre le Col Galvaudan. De là, le sentier monte directement, en pente régulière, jusqu'au Mont Saint-Cyr où nous faisons la pause pique-nique (avec distribution de catalyseur, il y en a qui me comprendront)

 

 

 

 

 

 

 

 

Nous nous  contentons de contempler d'en haut la Muraille de Chine et, après une descente assez raide, nous arrivons au Col Sabatier, où une partie du groupe nous quitte pour rentrer directement, en principe vers la source des eaux vives et le vallon de la Barasse, et, en fait, par le Vallon de Luinant. La montée au Mont Carpiagne débute par la traversée d'une belle zone rocheuse , puis on débouche sur la crête que l'on suit jusqu'au sommet, où on a bien sûr une vue panoramique splendide

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Nous entamons la descente dans la végétation très rase de tout ce massif (incendies obligent) et faisons bien attention de ne pas manquer la remontée du sentier qui nous permet de changer de vallée et de rejoindre le Vallon de la Barasse pour passer à l'oasis de la source des Eaux Vives (enfin, oasis ... C'est tout de même vrai que ce sont les premiers arbres depuis longtemps, même s'il n'y en a que deux!)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Il ne nous reste plus qu'à descendre jusqu'au bout le vallon de la Barasse, au milieu d'une végétation un peu plus dense,  qui finit d'ailleurs par un bois de pins élevés quelques centaines de mètres avant l'arrivée.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Une balade un peu sportive de 13 km pour un dénivelé de 750 m